La vie et la mort
Pour
moi ce qui se passe est un combat entre la « vie » et la « mort »
Qu’on
ne soit pas surpris si dans cette guerre il y ait beaucoup de morts
Aussi
bien la mort physique que les morts mentales et spirituelles
Car beaucoup comprendront que la vie contrairement à leurs croyances et autres fantasmes n’est pas belle
Un combat sans pitié pour ne pas perdre la raison
Tant le monde est balayé par un vent de folie et de déraison
Jadis
une vile sorcière a justifié l’embargo sur l’Irak responsable de la mort de
tant d’enfants
Quel
degré de méchanceté faut-il avoir pour justifier la mort d’enfants
Mais
il y a encore des gens pour baver d’envie sur l’ogre Sam
Quand
moi je ne vois chez cet « oncle » que son côté infâme
On
me dit de ne pas avoir de préjugés
Des
préjugés je n’en ai pas mais j’ai assez d’éléments pour juger
Comme
le mensonge de ce nègre de maison à l’ONU pour gruger
Ou
de la fille de l’ambassadeur koweitien se faisant passer pour une infirmière témoin
de la « barbarie des soldats irakiens » devant le sénat
Combien
de médiasmensonges pour justifier des guerres qui ont causé de tant le trépas ?
Il n'y a pas plus aveugle que celui ou celle qui ne veut pas voir
Et en vérité il n'y aucune vérité en eux comme leur père le diable
La
guerre pour moi est une abomination et tous ceux qui la défendent sont des
enfants du diable
Comment
vouloir mettre au monde des enfants dans un monde dirigé par des gens aussi peu
recommandables
L’espoir ?
Désolé je n’en ai pas, la bêtise humaine me l’a ôté
J’ai
voulu croire en la bonté et la capacité de repentance de l’humain mais ça s’est
terminé en déception et en terribles désillusions
Sur
le monde de demain je ne me fais aucune illusion
Je
vis chaque jour comme si c’était le dernier
Je m’attends
à l’enfer sur terre à tout moment
Quand
je vois le calvaire des populations syriennes, libyennes et ukrainiennes
Et
quand je vois la folie dévastatrice des « chiens et des chiennes »
Qui
dirigent l’occident et dont le regard et les paroles suintent la haine
Quand
je vois tant de mes sœurs à Dubaï devenir des chiennes au sens propre du terme
Je me dis que ma patience envers ce bipède parlant est arrivé à son terme
Je
me dis que ce monde décidément n’est pas fait pour moi
Je
suis passé trop de fois par l’effroi et l’émoi
Et
moi je ne cherche que la paix intérieure seule source de mon bonheur
Je
profite tant que je peux de bonnes heures avec les rares personnes chères à mon
cœur
Mon cœur
de poète espère toujours quand mon esprit est déjà dans un film d’horreur
Car
convaincu que toute attente que l’humain retrouve la raison et sorte de la
déraison est vaine
On dit que tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir
Sauf
que moi je dois voir pour croire
Et
chaque jour me convainc du règne quasi absolu du règne des fils de la mort
J’agis
donc en mon âme et conscience en attendant mon funeste sort
Car
je me dis de plus en plus que ni le paradis, ni le vrai bonheur n’est ici
Et
tant pis si certains pensent que je raconte des inepties
Après tout nous sommes des milliards et chacun à sa vision de ce qu'est une vie réussie
Le
cyberdésabusé
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