Un monde de fous

 

J’aurais aimé vivre à une autre époque, combien de fois ai-je dit ça ?

Je vois la tendance et l’avenir qui s’en vient je n’en veux pas

Mettre un enfant dans ce monde, je ne le ferai pas

J’en rêvais mais je ne peux poser cet acte dans un asile à ciel ouvert

Dirigé par des malades mentaux et toute sorte de pervers

Sans oublier les amoureux fanatisés des billets verts

La violence devient insoutenable contre ceux qui ne plient pas

Qui ne se plient pas à l’ordre promu par les merdias

Au service d’états qui ont tout de mafias

On diabolise ceux qui voient le monde autrement

Peu étonnant car ce monde ne vit que par et pour l’argent

Poncif éculé me dira-t-on et pourtant tellement dans l’air du temps

Qui tient les merdias ? Qui tient les états ? Les gens y pensent-ils ?

Où comme disent certains des débiles dirigent des imbéciles ?

Après la « plandémie » voilà qu’on parle de climat, est-ce une surprise ?

J’aurais aimé mais le système ne tient que par les « crises »

Faire peur pour accentuer son emprise sur la matière grise

A chaque fois c’est une indécence nauséeuse qu’ils frisent

Ils se moquent de nous, mais si peu semblent le voir dans ce monde de fous

Ce monde flou où on te dit que tu n’es rien si tu n’as pas le sou

Sauf que les sous certains veulent mettre la terre sans dessus dessous

Quel avenir pour ce monde de fous ? Pas un bel, je parie

La note sera douloureuse comme à un certain stade une carie

Pour moi nous sommes dans le Kali Yuga, cela ne se discute pas

Pas le temps de prendre des gants où dire des paroles sympas

Ce monde m’a transformé en sombre prophète qui annonce la domination de la bête

Car envers l’Esprit de vie nous avons accumulé trop de dettes

L'avenir ? J'ai prié de toute mes forces pour que ce soit la paix 

Mais ma conscience me dit que c'est une utopie à dire vrai 

 

Corbeau de tempête