Le covid l’arme idéale des cupides
Quel
pain béni pour les gens avides que ce covid
Ils
ont pu terrifier les gens avec des histoires à dormir debout
Faire
croire que cette maladie pouvait signifier la fin de tout
Ils
nous retirent nos libertés les unes après les autres et imposent leurs
solutions
Confinement,
couvre-feu, traitement interdit, vaccin bricolé, le monde devient une vraie
prison
Beaucoup
ne l’ont pas compris parce qu’ils sont long à l’allumage
Les
gens comme moi, c’est le pire que l’on envisage
La
bête montre son visage et combat les raisonnables et les sages
Idiocracy
ce n’est plus un film, c’est la réalité
Un
vaccin sorti du cul de Jupiter, ferait des miracles
Heureusement
qu’il y a encore des gens qui pensent pour leur faire obstacle
Mais
pour combien de temps, tant l’acharnement politico-médiatique est terrifiant ?
Traités
de complotistes, de conspirationnistes et toute la liste de quolibets à la mode
Empêcher
les gens de réfléchir rationnellement, tel est leur nom de code
On
nous assomme de chiffres pour que l’on ait peur de cette maladie comme on
aurait peur d’un incendie
Oui
ils bouleversent nos vies et orientent sordidement nos envies
La
société dont ils rêvent Orwell et Huxley ont en déjà parlé
Mais
comme c’est dans des œuvres de fiction les gens n’ont toujours pas percuté
Moi
j’en parle depuis belle lurette mais j’ai toujours été marginalisé
Les
miens sont criminalisés quand ce n’est pas pire comme Snowden et Assange
Et
les gens ne trouvent toujours pas ce qui se passe étrange
Comment
peut-on être assez naïf pour croire que Bill « Billgatus Of Borg » Gates
peut vouloir le bien de l’humanité ?
L’humanité
elle ne lui sert qu’a gonflé son portefeuille
Cela
ne lui fera ni chaud, ni froid si des millions de familles sont en deuil
Il
prospère parce que dans les esprits le bon sens fait un bide
Ce
caïd avide profite de tout pour s’enrichir
Sa
fondation est l’une des plus grandes escroqueries morales que le monde ait connues
Et
vu que le monde est dirigé par ces sinistres sires, l’homme sensé redoute le
pire
Que
dire que je n’ai pas dit ? Advienne que pourra
Beaucoup
pleureront quand ces démons sous forme humaine crieront hip hip hip hourra
On
récolte ce que l’on a semé, j’estime avoir fait mon devoir
Prévenir
les gens, donner de mon temps pour faire renaître les voies de l’espoir
Sauf
que d’espoir je n’en ai presque plus d’où un fatalisme qui prend en moi le
dessus
Comme
chez les héros de Matrix quand ils ont compris qu’ils marchaient en territoire
connu
Celui
où les jeux sont faits que vous n’avez plus votre mot à dire
Ce
que je dis donne à certains envie de rire
Tant
mieux pour eux, tant pis pour moi, les dés sont jetés
Les métastases du cancer de la cupidité sont partout
J’espère
pouvoir dire que dans ma vision cauchemardesque du futur je m’étais totalement trompé
Le sinistre cybérien
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